Hollywood vs Littérature : 10 livres qui n’auraient pas dû être adaptés, quand Hollywood perd la page

Hollywood vs Littérature

Ah, les adaptations cinématographiques ! Ce moment magique où Hollywood décide de prendre un chef-d’œuvre littéraire et de le transformer en… eh bien, quelque chose d’autre. Parfois, c’est un succès retentissant. D’autres fois, c’est comme essayer de faire entrer un éléphant dans une Mini Cooper – ça ne marche tout simplement pas. Aujourd’hui, plongeons dans le monde merveilleux des adaptations littéraires qui auraient dû rester… eh bien, des livres.

#1. "Dune" de Frank Herbert (version de 1984)

Commençons en beauté avec « Dune ». Frank Herbert a créé un univers si vaste et complexe que même les vers des sables auraient du mal à le digérer en entier. Mais cela n’a pas empêché David Lynch de tenter l’impossible en 1984.

Le résultat ? Un film qui ressemble à ce qui se passerait si vous donniez du LSD à un cours de physique quantique. Les spectateurs sont sortis des salles en se demandant s’ils venaient de voir un film sur le contrôle de l’univers ou une publicité prolongée pour un nouveau type de crème hydratante pour peau extra-sèche.

Les costumes semblaient sortir d’une convention de fans de science-fiction qui aurait mal tourné, et le « Son mortel » ressemblait plus à un karaoké cosmique qu’à une arme redoutable. Sans parler de ces sourcils de Baron Harkonnen qui semblaient avoir leur propre code postal.

Bref, cette adaptation était aussi réussie que si on essayait d’expliquer la théorie des cordes à un poisson rouge. Le livre méritait mieux, et heureusement, il l’a obtenu… 37 ans plus tard. Comme quoi, la patience est une vertu, même dans le désert d’Arrakis.

# 2. "Le Chat chapeauté" de Dr. Seuss

Qui aurait pensé qu’un livre pour enfants de 61 pages pouvait être étiré en un film de 82 minutes ? Hollywood, apparemment. L’adaptation de 2003 du classique de Dr. Seuss est la preuve vivante que parfois, moins c’est plus.

Mike Myers, dans le rôle titre, semblait moins un chat malicieux et plus un oncle bizarre qui aurait un peu trop forcé sur la catnip. Le maquillage était si intense qu’on avait l’impression que le chat avait été passé dans une machine à laver industrielle, puis séché à haute température.

Les enfants dans le film avaient l’air aussi confus que des adultes essayant de comprendre la crypto-monnaie. Quant à l’intrigue… disons simplement que si Dr. Seuss avait vu ça, il aurait probablement inventé de nouveaux mots juste pour exprimer son mécontentement.

Le film a réussi l’exploit de transformer un conte charmant et simple en une expérience psychédélique qui faisait passer « Alice au pays des merveilles » pour un documentaire sobre sur la vie en banlieue. C’était comme si quelqu’un avait décidé de prendre tous les éléments qui rendaient le livre spécial et de les jeter par la fenêtre, tout en criant « Oh, les lieux où tu iras ! » Malheureusement, ces lieux incluaient la sortie du cinéma pour de nombreux spectateurs.

# 3. "Eragon" de Christopher Paolini

Ah, « Eragon ». Un livre qui a prouvé qu’un adolescent pouvait écrire une histoire de dragons captivante. Le film, quant à lui, a prouvé qu’Hollywood pouvait transformer cette même histoire en un désastre fumant plus vite qu’un dragon ne peut rôtir un marshmallow.

L’adaptation de 2006 a réussi l’exploit de prendre un livre aimé des fans et de le transformer en quelque chose qui ressemblait à un mauvais cosplay de « Le Seigneur des Anneaux » rencontrant « Comment dresser votre dragon » dans une ruelle sombre.

Le dragon Saphira, majestueux et noble dans le livre, ressemblait dans le film à un lézard géant qui aurait abusé des stéroïdes. Sa voix, censée être sage et ancienne, sonnait plus comme celle d’une institutrice fatiguée essayant d’expliquer l’alphabet à des pierres.

Quant à l’intrigue, elle était aussi cohérente qu’un puzzle assemblé par un enfant de deux ans portant des moufles. Des éléments clés du livre ont été soit complètement ignorés, soit modifiés au point d’être méconnaissables. C’était comme si les scénaristes avaient joué au téléphone arabe avec l’histoire originale, et que le message final était « faisons n’importe quoi ».

Le résultat ? Un film qui a réussi l’exploit de décevoir à la fois les fans du livre et ceux qui n’en avaient jamais entendu parler. Un véritable tour de force cinématographique qui a prouvé que, parfois, le feu d’un dragon ne suffit pas à sauver un film des flammes de la critique.

# 4. "Les Misérables" de Victor Hugo (version de 1998)

Victor Hugo a passé 17 ans à écrire « Les Misérables ». Hollywood a décidé en 1998 qu’il pouvait faire mieux en 2 heures 14 minutes. Le résultat ? Un film qui fait passer la Révolution française pour une dispute de cour de récréation.

Liam Neeson, en Jean Valjean, semblait moins un ancien forçat torturé par son passé et plus un mannequin pour shampooing 19ème siècle. Quant à l’inspecteur Javert, incarné par Geoffrey Rush, il poursuivait Valjean avec la détermination d’un chat après un pointeur laser, mais avec beaucoup moins de grâce.

L’intrigue complexe et nuancée du roman a été simplifiée au point qu’on aurait dit un résumé Twitter de l’œuvre de Hugo. Les barricades, symbole puissant de la révolte dans le livre, ressemblaient dans le film à une version ratée de Jenga géant.

Et ne parlons même pas de la façon dont le film a géré les thèmes profonds du roman. La rédemption, la justice, la lutte des classes… tous ont été traités avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. C’était comme si les réalisateurs avaient décidé que « Les Misérables » signifiait « Les Spectateurs Misérables ».

Le résultat final était si éloigné de l’esprit du roman original que Victor Hugo aurait probablement préféré passer encore 19 ans en exil plutôt que de le regarder. Une preuve, s’il en fallait une, que parfois, les grands classiques devraient rester sur les étagères des bibliothèques plutôt que sur les grands écrans.

# 5. "Le Lorax" de Dr. Seuss

Apparemment, Hollywood n’a pas appris sa leçon avec « Le Chat chapeauté ». En 2012, ils ont décidé de récidiver avec « Le Lorax », prouvant une fois de plus que transformer un livre pour enfants de 45 pages en un long métrage est aussi judicieux que d’essayer d’apprendre le breakdance à un arbre.

Le message environnemental puissant et simple du livre a été noyé sous une avalanche d’intrigues secondaires inutiles, de personnages en plastique et de numéros musicaux qui faisaient passer « La Reine des Neiges » pour une œuvre minimaliste.

Le Lorax, gardien des arbres à la moustache imposante, est devenu une sorte de mascotte de fast-food écolo, plus préoccupé par les gags visuels que par la préservation de la nature. On avait l’impression que le script avait été écrit par un comité de marketing plutôt que par des scénaristes.

Quant à l’Once-ler, le mystérieux antagoniste du livre, il a été transformé en un jeune entrepreneur hipster qui aurait probablement vendu des smoothies bio entre deux coupes d’arbres. Le film a réussi l’exploit de prendre un message sur la protection de l’environnement et de le transformer en une publicité géante pour… eh bien, la consommation.

Le comble de l’ironie ? Le film a été accompagné d’un partenariat marketing avec une marque de SUV. Parce que rien ne dit « sauvons les arbres » comme la promotion de véhicules gros consommateurs d’essence, n’est-ce pas ?

Dr. Seuss avait créé une fable écologique simple et puissante. Hollywood l’a transformée en un pot-pourri de couleurs criardes et de morale superficielle qui aurait fait pleurer le Lorax… s’il n’était pas trop occupé à danser sur une musique pop générique.

# 6. "World War Z" de Max Brooks

Quand on pense « roman oral sur une apocalypse zombie mondiale », on pense naturellement « blockbuster d’action avec Brad Pitt », non ? Non ? Eh bien, Hollywood si.

Le livre de Max Brooks était une collection fascinante d’entretiens fictifs, offrant une perspective globale et réaliste sur ce que serait une véritable invasion de zombies. Le film ? Un festival de cascades où Brad Pitt court plus vite que les zombies, la logique et le scénario original.

Les zombies lents et implacables du livre, symboles effrayants de la mort inévitable, ont été transformés en une sorte de colonie de fourmis enragées sous stéroïdes. C’était moins « World War Z » et plus « Brad Pitt contre les zombies ninja sur speed ».

L’aspect international et la critique sociale subtile du livre ont été réduits à « Brad Pitt sauve le monde en voyageant dans des lieux exotiques ». C’était comme si quelqu’un avait décidé de faire un film sur la Seconde Guerre mondiale en se concentrant uniquement sur un type qui court vraiment vite.

Le résultat ? Un film d’action générique qui partageait avec le livre original… eh bien, pas grand-chose à part le titre. C’était comme commander un steak gastronomique et recevoir un hamburger fast-food. Pas nécessairement mauvais, mais certainement pas ce qu’on attendait.

Les fans du livre sont sortis du cinéma en se demandant s’ils n’avaient pas accidentellement regardé « Mission Impossible : Protocole Zombie ». Quant à Max Brooks, on peut imaginer qu’il aurait préféré une véritable apocalypse zombie à ce qu’Hollywood a fait de son œuvre.

# 7. "Pas de pays pour les vieux hommes" de Cormac McCarthy

Bon, d’accord, celui-ci est un peu controversé. Le film des frères Coen a été acclamé par la critique et a remporté plusieurs Oscars. Mais est-ce vraiment une adaptation fidèle du livre de McCarthy ? Autant que transformer « Guerre et Paix » en une sitcom.

Le roman de McCarthy est une méditation sombre et philosophique sur la violence et le destin, écrite dans un style minimaliste et poétique. Le film ? Un thriller tendu qui fait parfois penser à un épisode particulièrement sanglant de Benny Hill.

Javier Bardem, en tueur psychopathe avec une coupe au bol qui ferait fuir un moine bouddhiste, est certes mémorable. Mais son personnage passe de symbole effrayant de la fatalité à une sorte de Terminator cowboy. On s’attend presque à ce qu’il dise « Hasta la vista, sheriff » à un moment donné.

Les longs monologues introspectifs du livre sont remplacés par des regards intenses et des sourcils froncés. C’est comme si les Coen avaient décidé que la philosophie, c’était bien beau, mais que ce qui manquait vraiment au livre, c’était plus d’explosions et de fusillade.

Le résultat est un excellent film… qui n’a presque rien à voir avec le livre d’origine. C’est un peu comme si vous commandiez un whisky pur malt vieilli 18 ans et qu’on vous servait un cocktail fruité avec un petit parapluie. Délicieux, certes, mais pas vraiment ce que vous aviez en tête.

McCarthy, connu pour son style austère et minimaliste, a probablement regardé le film en se demandant si Hollywood n’avait pas accidentellement adapté son livre de courses plutôt que son roman.

# 8. "Mange, Prie, Aime" d'Elizabeth Gilbert

Ah, « Mange, Prie, Aime ». Un livre qui a inspiré des milliers de femmes à partir à la recherche de sens… et Hollywood à partir à la recherche d’un gros chèque.

Le mémoire touchant et introspectif d’Elizabeth Gilbert sur son voyage de découverte de soi a été transformé en ce qui ressemble à une publicité de 2 heures pour le tourisme exotique et les régimes détox.

Julia Roberts, dans le rôle principal, passe plus de temps à manger des pâtes en gros plan qu’à vraiment explorer les profondeurs de son âme. C’est moins un voyage spirituel et plus un épisode prolongé de « L’amour est dans le pré », version globe-trotteuse.

L’Inde, lieu de profonde introspection dans le livre, est réduite à une série de clichés colorés et de vendeurs de rue pittoresques. On a l’impression que le réalisateur a confondu « méditation » avec « achat de souvenirs ».

Quant à Bali, censé être le lieu où l’amour triomphe, il ressemble plus à une publicité pour une agence de voyages qu’à une véritable exploration des relations humaines. Le « Aime » du titre semble se référer plus à l’amour du placement de produits qu’à une véritable connexion émotionnelle.

Le résultat ? Un film qui transforme une quête spirituelle profonde en un catalogue de vacances glamour. C’est comme si quelqu’un avait décidé de transformer « Into the Wild » en une publicité pour les sacs de couchage de luxe.

Les spectateurs sont sortis du cinéma non pas avec un désir de découverte de soi, mais avec une envie soudaine de réserver des vacances all-inclusive. Elizabeth Gilbert, quant à elle, a probablement eu besoin d’un autre voyage spirituel… pour se remettre de l’adaptation de son livre.

# 9. "La Tour Sombre" de Stephen King

Stephen King a passé plus de 30 ans à écrire la série de « La Tour Sombre », créant un univers riche et complexe mêlant western, fantasy et horreur. Hollywood a décidé qu’il pouvait faire mieux en 95 minutes. Spoiler alert : ils n’ont pas réussi.

Le film de 2017 est à l’œuvre originale ce que le fast-food est à la haute gastronomie – vaguement reconnaissable, mais dénué de toute substance. Idris Elba, en Roland le Pistolero, fait de son mieux, mais on a l’impression qu’il s’est trompé de plateau et s’est retrouvé dans un mauvais remix de « Le Bon, la Brute et le Truand » meets « Harry Potter ».

L’intrigue complexe et multi-dimensionnelle des livres a été réduite à une chasse au trésor adolescente avec des effets spéciaux dignes d’un jeu vidéo de 2005. C’est comme si les scénaristes avaient mis tous les livres dans un mixeur, appuyé sur le bouton « purée », et filmé le résultat.

Le Homme en Noir, antagoniste fascinant et multidimensionnel dans les livres, est réduit à un méchant de pantomime qui semble plus préoccupé par son eye-liner que par la destruction de la Tour Sombre. Matthew McConaughey joue le rôle comme s’il avait été défié de surjouer chaque scène.

Les fans de la série ont quitté les salles en se demandant s’ils n’avaient pas accidentellement regardé la bande-annonce d’un autre film pendant 95 minutes. Quant à Stephen King, on peut imaginer qu’il a eu besoin de toute sa créativité pour inventer de nouvelles façons d’exprimer sa déception.

# 10. "Cinquante nuances de Grey" de E.L. James

Pour finir en beauté (ou pas), parlons de « Cinquante nuances de Grey ». Un livre qui a prouvé qu’on pouvait devenir un best-seller mondial avec la profondeur émotionnelle d’une flaque d’eau et le style littéraire d’un SMS d’adolescent.

Mais attendez, Hollywood s’est dit : « Et si on prenait ce chef-d’œuvre de subtilité et qu’on le rendait encore plus subtil ? » Le résultat ? Un film qui fait passer « Showgirls » pour un drame shakespearien.

Dakota Johnson et Jamie Dornan, dans les rôles principaux, ont à peu près autant de chimie qu’une salade et un steak. Leurs scènes « torrides » ont la passion d’une lecture du code des impôts. C’est moins « 50 nuances de Grey » et plus « 50 nuances de Beige ».

Le BDSM, élément central du livre, est traité avec toute la finesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Les scènes censées être sensuelles ressemblent plus à un cours d’éducation sexuelle particulièrement maladroit. On a l’impression que le réalisateur a confondu « érotisme » avec « catalogue de meubles design ».

Quant au dialogue… disons simplement que même les acteurs semblaient gênés de le prononcer. Des répliques comme « Je suis cinquante nuances de détraqué » font passer les dialogues de films pour adolescents pour du Proust.

Le résultat ? Un film qui a réussi l’exploit de rendre un livre déjà peu subtil encore moins subtil. Les spectateurs sont sortis des salles en se demandant s’ils venaient de regarder un drame romantique ou une publicité particulièrement longue pour des cravates.

E.L. James, quant à elle, a probablement ri tout le chemin jusqu’à la banque, prouvant une fois de plus que parfois, le mauvais goût paie… et paie bien.

Hollywood vs Littérature

Hollywood vs Littérature : Conclusion

Et voilà, chers amis cinéphiles et bibliophiles ! Notre tour d’horizon des adaptations littéraires qui auraient dû rester à l’état de projet sur un post-it oublié dans un tiroir d’Hollywood.

Ces dix exemples nous rappellent que, parfois, le meilleur hommage qu’on puisse rendre à un livre est de le laisser tranquille sur son étagère. Ils nous prouvent aussi que même avec des millions de dollars, des stars internationales et des effets spéciaux à gogo, rien ne peut remplacer la magie de l’imagination d’un lecteur.

Alors la prochaine fois que vous entendrez parler d’une adaptation de votre livre préféré, rappelez-vous : parfois, le mieux est l’ennemi du bien. Et si vraiment vous ne pouvez pas résister à la tentation de voir votre roman favori sur grand écran, faites comme moi : fermez les yeux, bouchez-vous les oreilles et imaginez votre propre film. Je vous garantis que ce sera toujours mieux que ce que Hollywood pourrait produire !

Sur ce, je vous laisse retourner à votre bibliothèque. Et rappelez-vous : un bon livre vaut mieux que mille adaptations ratées. Sauf peut-être si l’adaptation est tellement mauvaise qu’elle en devient culte. Mais ça, c’est une autre histoire…

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